Chicorée biologique
€2
Chicorée
plante issue de l'agriculture biologique
Nom latin : Cichorium intybus
Famille : Astéracées
Partie utilisée : Racine
Nom commun : Chicorée
La chicorée est traditionnellement utilisée pour aider la digestion, pour détoxifier le foie, et pour débarrasser l’organisme des impuretés qu’il contient
La chicorée est un protecteur gastrique et antiulcéreux, elle protège de l’ulcère gastrique. Absorbée par voie orale, elle agit comme prébiotique sur la flore intestinale, en parvenant au colon sans être dégradée ni absorbée, et protège des colopathies (syndrome de l’intestin irritable).
Elle est légèrement laxative, et peut être donnée aux personnes âgées et aux enfants pour accélérer le transit intestinal.
On l’utilise en tisanes dans les traitements des rhumatismes, de la goutte, du foie engorgé, de l’urticaire, et comme adjuvant des régimes amaigrissants.
En usage externe, les feuilles de chicorée apaisent les enflures et les inflammations, notamment oculaires. En lotion, elle hydrate les peaux sèches ou irritées.
Appelée communément « barbe de capucin », « cheveux de paysan », « chicorée amère », « écoubette », « yeux de chat », et « laiteron » en référence au latex blanc que contient la plante, la chicorée est une vivace robuste, très rameuse, plus ou moins pubescente, dont la taille varie entre 40 cm et 1 mètre de hauteur. Elle se rencontre dans les lieux incultes, au bord des chemins et dans les prés, préférant les sols calcaires. Originaire d’Europe, d’Asie occidentale et d’Afrique du Nord, elle compte quatre espèces sauvages et deux espèces cultivées dont une, que l’on retient pour ses vertus médicales, la Cichorium intybus, à l’origine des endives ou chicons, de chicorées rouges italiennes, mais aussi du succédané de café appelé chicorée. Elle est reconnaissable grâce à ses capitules d’un bleu intense, et à ses fleurons comportant tous des ligules lancéolés et dentés à l’extrémité. La floraison est estivale avec phototropisme, c’est-à-dire que les fleurs s’ouvrent et se ferment en fonction du soleil.
En -1534 avant J.-C. on la retrouve sur le papyrus égyptien d’Ebers, une encyclopédie médicale. Au 1er siècle, Pline l’Ancien, naturaliste romain, et Dioscoride, médecin grec, vantent ses propriétés entre autres sur le foie, l’estomac, et les troubles oculaires. Certains la nomment « l’utile » ou « la toute puissante ». Entre le VIIIe et le IXe siècle, elle était inscrite au Capitulaire de Villis qui contient la liste d’une centaine de plantes, arbres, arbustes ou simples herbes dont la culture dans les jardins du domaine royal était préconisée et ordonnée par Charlemagne. Puis c’est au tour d’Hildegarde de Bingen, moniale naturopathe du XIIe siècle, de la prescrire comme digestif, contre les catarrhes (inflammation des muqueuses provoquant une sécrétion excessive), et comme cicatrisant pour panser les plaies. En outre, elle la désignait pour calmer les douleurs des affections hépatiques, pour sa tonicité, pour purifier l’organisme, et comme anaphrodisiaque. Au XVIe siècle, le botaniste Tragus exploite les vertus des feuilles de chicorée en les appliquant sur les abcès, les inflammations locales et enflées, la goutte, et les irritations du cuir chevelu. C’est au XVIIe siècle que la plante occupe un rang important avec le sirop de chicorée, un remède du foie très à la mode que conseillait la marquise de Sévigné. Enfin, à la fin du XVIIe, elle deviendra un substitut du café aux Pays-Bas.
plante issue de l'agriculture biologique
Nom latin : Cichorium intybus
Famille : Astéracées
Partie utilisée : Racine
Nom commun : Chicorée
La chicorée est traditionnellement utilisée pour aider la digestion, pour détoxifier le foie, et pour débarrasser l’organisme des impuretés qu’il contient
La chicorée est un protecteur gastrique et antiulcéreux, elle protège de l’ulcère gastrique. Absorbée par voie orale, elle agit comme prébiotique sur la flore intestinale, en parvenant au colon sans être dégradée ni absorbée, et protège des colopathies (syndrome de l’intestin irritable).
Elle est légèrement laxative, et peut être donnée aux personnes âgées et aux enfants pour accélérer le transit intestinal.
On l’utilise en tisanes dans les traitements des rhumatismes, de la goutte, du foie engorgé, de l’urticaire, et comme adjuvant des régimes amaigrissants.
En usage externe, les feuilles de chicorée apaisent les enflures et les inflammations, notamment oculaires. En lotion, elle hydrate les peaux sèches ou irritées.
Appelée communément « barbe de capucin », « cheveux de paysan », « chicorée amère », « écoubette », « yeux de chat », et « laiteron » en référence au latex blanc que contient la plante, la chicorée est une vivace robuste, très rameuse, plus ou moins pubescente, dont la taille varie entre 40 cm et 1 mètre de hauteur. Elle se rencontre dans les lieux incultes, au bord des chemins et dans les prés, préférant les sols calcaires. Originaire d’Europe, d’Asie occidentale et d’Afrique du Nord, elle compte quatre espèces sauvages et deux espèces cultivées dont une, que l’on retient pour ses vertus médicales, la Cichorium intybus, à l’origine des endives ou chicons, de chicorées rouges italiennes, mais aussi du succédané de café appelé chicorée. Elle est reconnaissable grâce à ses capitules d’un bleu intense, et à ses fleurons comportant tous des ligules lancéolés et dentés à l’extrémité. La floraison est estivale avec phototropisme, c’est-à-dire que les fleurs s’ouvrent et se ferment en fonction du soleil.
En -1534 avant J.-C. on la retrouve sur le papyrus égyptien d’Ebers, une encyclopédie médicale. Au 1er siècle, Pline l’Ancien, naturaliste romain, et Dioscoride, médecin grec, vantent ses propriétés entre autres sur le foie, l’estomac, et les troubles oculaires. Certains la nomment « l’utile » ou « la toute puissante ». Entre le VIIIe et le IXe siècle, elle était inscrite au Capitulaire de Villis qui contient la liste d’une centaine de plantes, arbres, arbustes ou simples herbes dont la culture dans les jardins du domaine royal était préconisée et ordonnée par Charlemagne. Puis c’est au tour d’Hildegarde de Bingen, moniale naturopathe du XIIe siècle, de la prescrire comme digestif, contre les catarrhes (inflammation des muqueuses provoquant une sécrétion excessive), et comme cicatrisant pour panser les plaies. En outre, elle la désignait pour calmer les douleurs des affections hépatiques, pour sa tonicité, pour purifier l’organisme, et comme anaphrodisiaque. Au XVIe siècle, le botaniste Tragus exploite les vertus des feuilles de chicorée en les appliquant sur les abcès, les inflammations locales et enflées, la goutte, et les irritations du cuir chevelu. C’est au XVIIe siècle que la plante occupe un rang important avec le sirop de chicorée, un remède du foie très à la mode que conseillait la marquise de Sévigné. Enfin, à la fin du XVIIe, elle deviendra un substitut du café aux Pays-Bas.
On attribue traditionnellement à la chicorée les propriétés suivantes :
Anti-oxydant (qui contient des molécules capables d'interagir sans danger avec les radicaux libres avant que les molécules vitales ne soient endommagées)
Diurétique (qui a la propriété de stimuler l'excrétion urinaire)
Dépuratif (qui a la propriété de débarrasser l'organisme des impuretés qu'il contient)
Cholagogue (qui a la propriété de faciliter l'évacuation de la bile hors des voies biliaires)
Cholérétique (qui stimule la sécrétion de la bile, ce qui évacue les toxines du foie)
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Toutes nos plantes sont garanties sans radiation par nos fournisseurs. Elles sont issues des dernières récoltes afin de garantir une grande concentration en principes actifs.
Toutes les indications relatives à la préparation, les quantités, les dosages, les informations relatives au numéro de lot et date limite d'utilisation sont indiqués sur les étiquettes.
Toutes les plantes sont proposées en sachet kraft ou doypacks zippés selon la quantité.
Vous trouverez également tous les accessoires indispensables à la préparation de vos infusions (filtres, pinces à thé, thermos, flacons d'apothicaire en verre...) dans la rubrique Accessoires
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